Le windsor star sort les grandes nouvelles ce matin. "Vos livres en trop pourrait ne pas vous tuer!" Et ça étonne! Je l'ai appris sur le site d'un entraineur dont la newsletter va dans mes pourriels chaque semaine mais dont le titre m'a aujourd'hui attirée. Je peux comprendre le pauvre d'être outré par la nouvelle, lui qui jeûne un jour sur deux pour garder sa ligne et qui a fait de son obsession une carrière pour pouvoir mieux contaminer, euh aider, les autres. Selon lui les scientifiques qui ont fait cette études vous veulent du mal et essaient de justifier leur propre obésité.
Pendant ce temps, dans ce monde qui tourne rondement, Posh Spice doit reprendre du poids pour survivre a sa tournée avec les Spice Girls.
Mais maigrissez comme les filles sur les revues. C'est bon pour vous... Ouais.
Je rappelle à toutes que plusieurs spécialistes de la question croient que les maladies traditionellement liées à l'obésité avec lesquelles ont terrorise des populations entières découlent en fait des régimes.
Mais faites dont un bon régime pour être en santé comme les filles de la télévision...
Ah, je suis fatiguée, je laisse la place aux méchants scientifiques qui inventent des histoires pour que vous alliez illico vous empifrer chez Tim Horton pour que vous mourriez jeunes. Je parie qu'il sont de mèche avec Al Qaeda ou le KGB... De toute façon, si cette étude à autant de biais et de problèmes méthodologiques que toute celles qui prouve que chaque livre au dessus de l'anorexie vous rapproche de satan, bof...
Attention:
Extra pounds may not be killing you
Sharon Kirkey, CanWest News Service
Published: Wednesday, November 07, 2007
Being overweight doesn't destine people to an early death, a major new study has found.
U.S. researchers who analyzed 2.3 million adult deaths found the overweight are not at increased risk of dying from cardiovascular disease or cancer -- including obesity-related cancers such as tumours of the breast, colon or pancreas.
And, carrying 20 to 25 extra pounds appears to lower the risk of dying prematurely from virtually all other causes compared to normal-weight people.
This varied group appears to include respiratory diseases such as bronchitis and emphysema, pneumonia, tuberculosis and other infectious diseases, blood poisoning, liver disease, falls, suicide, Alzheimer and Parkinson, though scientists haven't analyzed each individual disease.
The exception were kidney disease and diabetes, two of the fastest growing diseases in Canada.
The net result? Overweight "was associated with significantly decreased all-cause mortality overall," scientists from the U.S. Centers for Disease Control and Prevention write in this week's, Journal of the American Medical Association.
The modestly overweight -- but not truly obese -- may be better able to recover from infections or medical procedures, and more likely to survive certain diseases due to the "greater nutritional reserves or higher lean body mass" associated with higher weights, the researchers write.
Last week, the World Cancer Research Fund said one of the single most important things people can do to avoid cancer is to stay as thin as possible within the "healthy" weight range.
A second massive study released Tuesday -- this one involving 1.2 million British women aged 50 to 64 -- found that while obesity causes an estimated four per cent of all cancers in post-menopausal women, just one per cent of cancers were attributed to being overweight, though the risk was higher for some cancers than others, including endometrial and esophageal cancer.
WHERE FAT IS
But a Canadian expert on weight and health says what matters more than the total amount of excess fat is where that fat is located. The study is based on the body mass index, a measure of weight to height. "We know that many of the health problems related to obesity are not reflected in the body mass index -- they're related to abdominal obesity," says Dr. Arya Sharma, scientific director of the Canadian Obesity Network.
The study's lead author says their analyses show that the estimated numbers of excess deaths would be similar whether BMI, waist, waist-to-hip ratio or some other fat measure was used.
But overweight is a loose definition, Sharma says. "If you're eating a healthy diet and you're physically active and you have no problems related to that excess weight, well then don't worry about it."
Plus sur cette étude ICI, sur Junkfood Science
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4 commentaires:
Ahhhhh Vertige! Je suis désespérée! Je suis dans la période d'euphorie alimentaire depuis ma levée des interdits!!!
Je saus que c'est normal au début... mais je me sens grossir! :(
As-tu fais des compulsions au début?
On dirait que je suis tellement habituée d'avoir deuxs modes: ''Minçavi'' ou ''fuck Minçavi!'' que je n'arrive pas encore à me contrôler et à me donner vraiment droit à ces aliments... je les mange encore comme si j'allais recommencer à me priver bientôt! :(
Je suppose qu'après s'être privée longtemps, ce ne doit pas être évident d'échapper à la tendance inverse (ie la compulsion)
Mais deux choses si j'en crois ma récente lecture :
1 - tu "grossis" peut-être pour recouvrir ton poids normal si tu t'es sous alimentée. Le fait est normal et s'arrêtera dès que ton organisme sera revenu à un mode équilibré
2 - l'impression de compulsion s'arrêtera sans doute d'elle-même dès lors que ton inconscient réagira en mode "fin de privation" (c'est à dire "hatons ne de profiter avant d'être de nouveau privé"). Quand tu auras acquis profondément la certitude que tu peux manger ce qui te plaît quand il te plaît, tu n'auras pas besoin de te "contrôler" mais simplement de choisir quand tu veux te faire plaisir alimentairement et avec quoi.
Je comprends ton hypothèse no.1, mais je ne crois pas que ce soit le cas... À 21 ans, je pesais naturellement 124 lbs (le poids que mon corps maintenait quand je voyais mon psy et qu'il m'empêchait de me priver et que je m'efforçais de ne pas faire de compulsion).
Je me suis rendue à 165,8 lbs vraiment de façon artificielle, dans le sens que j'outre-mnageais presque à chaque jour pour plein de raisons psychologiques...
Je me suis rendue à 135 avec Minçavi. Là je suis à peu près à 138 lbs, mais je niaise de même depuis quelques temps... Quand je réussis à me contrôler (ne pas faire de compulsions), je redescends à 135 lbs et même nu peu plus bas...
Je crois que c'est parce que je suis trop influencée par les régimes! Je me juge quand je mange ''mal'' et je ne peux pas m'empêcher de scrapper ma journée en outre-mangeant pour tout le reste de la journée!!!! :(
Maudit tout-ou-rien à marde!
Je songe à me faire hypnotiser, hehe
Pour ce qui est de l'hypothèse no. 2, je pense que c'est vraiment ça! Quand je vais prendre pour acquis que c'est fini les restrictions, je vais manger librement et je ne me gaverai pas en vue d'une prochaine privation...
Là Minçavi me guette tout le temps! Comme je suis instable, combien de fois j'ai penchée entre ''Mangez!'' et Minçavi! Ça dépend de mon humeur et dès que la simple idée des restrictions surgit= COMPULSIONS!!!
Je comprends pourquoi l'auteure de ce blog s'appelle Vertige... Oui, ça donne le vertige de se ''pitcher'' dans le vide, de n'avoir aucun cadre alimantaire comme ce à quoi on ets habituée!!!
Muriel: Ça sent le vécu!!! Bravo, tu sais mieux résumer que moi. Je n'ai pas cette aptitude à être claire et brève...
Amélie: Je t'ai répondu longuement et me suis laissée un peu emportée, tu m'excusera... Normal que ton coeur balance. T'as surement mis beaucoup d'énergie avec minçavi. T'es forte pour avoir perdu avec minçavi, je sais que c'est dur parfois, alors t'es surement digne de l'anti-régime.
Tout ou rien??? Je connais très bien. Minçavi, comme tous les régimes, n'aide pas à se sortir de cette logique.
Je ne veux pas t'influencer, honnêtement, parce que tes réponses sont en toi, elles sont bonnes, et tu te connais mieux que personne.
Bonne réflexion et surtout, n'oublie pas que c'est que de la bouffe. Prends soin de toi!
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