Mon histoire d'amour, c'est d'abord une erreur de compréhension interculturelle.
J'étais passée sur le blog d'un expatrié français: un blog sensible, curieux, ouvert écrit par un gars qui me semblait bien allumé. J'ai voulu lui laisser un petit message sans but pour le féliciter de son blog. Comme nous étions dans la même ville, je lui ai écris quelque chose du genre: "Beau blog. On se croisera peut-être un jour à Montréal?"
Le monsieur a pris ça pour une invitation. Maudit français... Et comme j'avais laissé dans la partie obligatoire ou on doit mettre le courriel l'adresse que je réserve pour mes pourriels, il m'a répondu à cette adresse.
Réponse que je n'ai pas vue... Mais il passait sur mon blog me laisser de gentils commentaires bien placés.
Un mois plus tard, je devais m'ennuyer ce jour là, je suis aller voir ma boite de réception et, entre une pub de viagra et le mail d'une africaine qui voulait me transférer quelques millions de dollars, je trouvais une petite invitation sympathique à aller prendre un café. Je lui ai répondu, évidence que je m'ennuyais vraiment ce jour là.
Une banale excuse de ne pas lui avoir répondu je crois, et certainement pas un oui à un rendez vous d'un probablement pervers qui lisait mon blog régulièrement et que mon lyrisme de fille esseulée devait laisser croire à une baise facile.
Mais on s'est mis à s'écrire et il était assez intéressant pour mériter que je daigne lui répondre. Et il était en voyage d'affaire en Ontario, le pauvre, il fallait bien qu'il se désennuie un peu. Et ce n'est pas parce que je rentrais chez moi après le boulot à minuit avec une allure de suicidaire sur mon vélo et que je montais les marches de mon appart quatres à quatres avant de me jetter sur mon ordi pour voir s'il m'avait écrit qu'il m'intéressait. Non, pas du tout.
La suite de mes péripétie incroyables...
une autre fois. J'ai du boulot
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