jeudi 20 septembre 2007

Une psy et une stress ball

Ça y est, ce carnet qui depuis quelque temps est devenu le dévidoir de mes pensées profondes devrait redevenir plus rigolo.

Une pauvre psychologue qui ne sait pas encore ce qui l'attend me rencontrera pour la première fois mercredi prochain dans le cadre de ces entrevues quasi gratuites qu'on donne aux étudiants d'université. Merci éducation.

Une heure à shooter à une pauvre innocente toutes les idées contradictoires qui me passent par la tête. J'espère qu'on la paie bien. Je suis pire qu'une fumeuse qui vient d'arrêter la nicotine. Je suis en sevrage de bouffe de réconfort, addiction que je cultive depuis mon tout jeune age, ce qui me donne le droit d'être chiante, melée et hystérique.
Et en plus, j'ai des cours de physique et de calcul différentiel et deux autres cours de coopération qui me plongent dans l'absurdité et l'injustice du monde, facteurs aggravants. Mais je resterai forte!
Dans la vie, il faut se tenir debout!

(Et c'est de plus en plus vrai puisque ma taille commence à se dessiner lorsque je suis debout, mais le joli creux rond entre ma hanche et ma poitrine est sauvagement assassiné chaque fois que j'ose m'asseoir pour laisser place à 2 gros bourrelets qui peuvent me servir de gigantesque stress ball pendant les cours. Si mon chat le fait lorsqu'il me piétine avant de s'installer sur mon nombril, pourquoi ne pourrais je pas aussi jouer avec le moelleux de mon gras? <--Voir une psy bientôt est peut-être finalement necessaire)

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